[pub] Des données sécurisées disponibles de jour comme de nuit grâce au cloud privé

[pub] Des données sécurisées disponibles de jour comme de nuit grâce au cloud privé

[Publicité] Les secteurs, fournisseurs de service et institutions qui traitent d’énormes flux de données, sensibles ou non, requièrent une infrastructure sous-jacente robuste et flexible. Le récit de FarmaFlux, l’organisation qui gère l’accès aux données et l’échange de données entre les pharmacies belges, en est la preuve. « Le cloud privé nous offre les garanties de disponibilité dont nous avons besoin. »

Des millions de transactions par jour

La Belgique compte environ 4.500 pharmacies, qui emploient quelque 16.000 collaborateurs au total. Chaque jour, ces pharmacies reçoivent un demi-million de patients en moyenne. De très nombreuses transactions ont donc lieu au quotidien. « Entre deux et quatre millions par jour, et ce, de jour comme de nuit, car les pharmacies ont aussi un service de garde », explique Marc Buckens, directeur de FarmaFlux.

Toutes ces transactions et leur traitement impliquent de gigantesques flux de données. La gestion de ces derniers nécessite une infrastructure sous-jacente robuste et flexible. Il s’agit en outre d’une infrastructure critique, sur laquelle chaque Belge, pharmacien et prestataire de soins doit pouvoir compter en permanence.

Disponible de jour comme de nuit

« Nous étions par conséquent à la recherche d’un partenaire IT qui pouvait nous garantir que toutes nos données, toutes nos applications et tous nos systèmes seraient toujours disponibles, quoi qu’il arrive. Nous avons finalement fait appel à Proximus NXT, qui a développé pour nous un cloud privé. »

« Il est surtout important que nos données soient disponibles en permanence, à tout moment du jour et de la nuit », souligne Marc. « Nous ne pouvons nous permettre aucun temps d’arrêt, pas même pour une minute et encore moins pour une heure. »

Infrastructure 100 % redondante

Autre défi : la quantité considérable de données. « Rien que pour l’application DPP (Dossier Pharmaceutique Partagé), il faut déjà compter 150 à 200 millions de fichiers que nous devons conserver pendant un an. » Sur les conseils de Proximus NXT, FarmaFlux a donc opté pour un système entièrement redondant, reposant sur deux centres de données, l’un à Evere et l’autre à Machelen. « Si l’un d’entre eux est hors service, l’autre reste opérationnel. Nous disposons en outre d’au moins deux serveurs d’applications identiques dans chaque centre de données. En cas de maintenance, pas de problème : l’un des deux serveurs continue de fonctionner. »

Flexible et évolutif

« Nous avons d’emblée entretenu une véritable collaboration avec Proximus NXT », conclut Marc. Filip Marchal, Lead Private Cloud chez Proximus NXT, confirme. « Nous avons tout élaboré ensemble dès le départ, en étroite concertation avec l’équipe de FarmaFlux. Au fur et à mesure que le nombre de pharmacies, de patients et donc de données augmentait, nous avons procédé ensemble aux adaptations nécessaires, du renouvellement de certains systèmes à l’affinement de certaines exigences. Nous avons ainsi développé un environnement tourné vers l’avenir, prêt à accueillir de nouveaux projets. »

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Le texte ci-dessus est une contribution commerciale soumise par FarmaFlux. Les éditeurs ne sont pas responsables du contenu.