Microsoft étend le service Azure Site Recovery à 15 jours. Ainsi, une équipe informatique peut toujours compter sur des données anciennes et non infectées si elle est confrontée à une cyberattaque.
Azure Site Recovery est un DRaaS (« Disaster Recovery as a Service »). Le service intervient dès qu’une panne informatique se produit au sein de l’entreprise interconnectée. Microsoft annonce maintenant des innovations pour le service : Grâce au déploiement de la prise en charge d’une conservation plus longue des points de restauration, vous pouvez désormais conserver les points de restauration jusqu’à 15 jours au lieu de 72 heures.
Toujours avoir une sauvegarde
Selon Microsoft, cette nouvelle extension améliore l’utilité du service. Par exemple, les logiciels malveillants peuvent rester introuvables dans les systèmes informatiques pendant plusieurs jours. Il peut donc arriver que la période de 72 heures soit déjà écoulée avant que quiconque ne remarque que des systèmes ont été infectés.
Une extension à quinze jours permet d’éviter ce problème. Une fois l’infection détectée, l’équipe informatique peut revenir à des points de récupération plus vieux. En fonction de la période à laquelle l’équipe informatique doit revenir, il y a plus ou moins de points de récupération disponibles.
Sur une période de 24 heures, Azure Site Recovery stocke un point de récupération toutes les heures. Seules les deux heures qui se terminent ont un point de restauration par cinq minutes écoulées. Ceux qui regardent en arrière entre 48 heures et 7 jours trouveront un point de récupération toutes les deux heures. Plus loin encore, vous trouverez un point de restauration toutes les quatre heures.
Les coûts
Le service est gratuit pendant les 31 premiers jours. Après cela, Microsoft facture en fonction de l’utilisation. Enregistrer les points de restauration supplémentaires a également un coût supplémentaire.