Microsoft a annoncé la fonctionnalité Bitlocker à accélération matérielle. Cela devrait réduire considérablement l’impact sur les CPU, de sorte que les utilisateurs ne ressentent plus de gêne pendant le cryptage.
Microsoft souhaite combler le fossé entre la sécurité et les performances maximales, car les SSD NVMe ultra-rapides deviennent de plus en plus la norme. Avec BitLocker à accélération matérielle, l’impact sur le CPU dû au cryptage du disque devrait considérablement diminuer.
Moins d’utilisation du CPU
BitLocker est connu depuis des années comme une couche de sécurité fiable, mais avec les disques NVMe modernes, l’impact sur les performances est devenu plus évident.

Étant donné que le cryptage était uniquement effectué par le CPU, combiné aux énormes vitesses d’E/S des nouveaux disques, les processeurs ne pouvaient plus suivre les vitesses. C’était certainement le cas pour les charges de travail intensives telles que le montage vidéo ou le développement de logiciels.
« Différence notable »
Selon Microsoft, les performances de stockage avec BitLocker à accélération matérielle se rapprochent de celles d’un disque NVMe sans cryptage. Lors de tests internes, la consommation de CPU a diminué en moyenne de 70 % par rapport à BitLocker logiciel, ce qui a également un effet positif sur l’autonomie de la batterie.
La prise en charge commence avec les systèmes Intel vPro avec Core Ultra Series 3 (Panther Lake), avec une extension à d’autres plateformes ultérieurement. Les utilisateurs peuvent vérifier si leur système utilise BitLocker à accélération matérielle via la commande manage-bde -status, où cela est explicitement mentionné.
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